Le village médiévale de Gruyère, avec son château, tel qu’il était à l’époque du Comté de Gruyère. En arrière plan, le Moléson, montagne emblématique de la Gruyère. | A noter l’excellent Restaurant du Chalet (juste avant l’entrée du château). Vous y dégusterez, dans un cadre typiquement gruyérien, une délicieuse fondue (sans alcool) au Vacherin Fribourgeois AOP | Photo: MySwitzerland.com
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Une belle photo du Château de Gruyère, illuminé, avec en fond « notre Moléson national » (Pays de Gruyère, Canton de Fribourg, Suisse). Photo: MySwitzerland.com (Office Suisse du Tourisme, et website de référence)
La Confédération Suisse
La Suisse est un pays neutre, riche d’une longue histoire et de très belles traditions, au cœur de l’Europe et du Monde. Composé de 26 cantons (états), on y parle officiellement quatre langues: le français, l’allemand, l’italien, et le romanche.
La capitale de la Suisse est Berne, appelée également « ville fédérale ». Créée en 1291, année du pacte Fédéral, elle réunie au début trois cantons de Suisse centrale: Schwyz, qui lui donnera son nom, Uri, et Unterwald; désormais scindés en deux demi-cantons, Obwald et Nidwald. Ces cantons confirmeront leur alliance en 1315, par le Pacte de Brunnen. La Suisse célèbre sa fête nationale le 1er août de chaque année (voir plus bas).
Blason officiel
Source: Conseil Fédéral
Le tourisme en Suisse
La Suisse est un pays très agréable à visiter, avec de très beaux paysages, notamment de montagnes; ainsi que de nombreux villages et villes qui ont ont su garder leur cachet, et préserver leurs traditions. Ce qui en fait une destination touristique très prisée.
De nombreuses informations et suggestions peuvent être trouvées sur le site de l’office du Tourisme Suisse, MySwitzerland.com, en plusieurs langues.
La Suisse internationale
Mais aussi, de part sa neutralité politique, la Suisse abrite de nombreuses organisations internationales. C’est le cas notamment de l’ONU, dont le deuxième siège le plus important après New York se trouve à Genève.
Mais il y a également de nombreuses organisations onusiennes, inter-gouvernementales, et non-gouvernementales (ONG); ainsi que des entreprises internationales qui y ont leur siège, notamment certaines entreprises de renom à Genève.
Le CICR, Genève, Suisse.
C’est notamment le cas pour la Croix-Rouge, que ce soit le Comité International de la Croix-Rouge (CICR), ou la Fédération internationale des Sociétés de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge (FICR).
Comité International de la Croix-Rouge, créée par Henri Dunant et d’autres citoyens genevois, en 1863, et qui a pour « objectif de protéger et d’assister les victimes de conflits armés et de situations de violence ». Son action se base sur le Droit International Humanitaire (DIH), lequel est composé des Conventions de Genève de 1949, et de leur protocole additionnel de 1977; dans le cadre de la neutralité Suisse.
La qualité Suisse
La Suisse est reconnue mondialement, à la fois pour la qualité de produits et services, mais également pour ses traditions et savoir-faire en de nombreux domaines.
Certes, tout le monde connait l’excellence de l’horlogerie suisse, de son chocolat, et de son fromage. Mais ce sont là aussi des clichés véhiculés, au fil du temps. Car peu de gens savent que les produits et services suisses sont à très haute valeur ajoutée. En d’autres termes, très souvent, lorsqu’il s’agit d’opter pour un produit de grande ou un service de grande qualité, c’est la Suisse qui remporte le marché.
Certains diront que c’est un petit pays par sa surface géographique, de 41’285 km2 (quinze fois plus petit que la France, mais tout de même plus grand que la Belgique), et son nombre d’habitants, qui est d’à peine plus que huit millions, mais un grand pays par ses qualités et son rayonnement dans le monde.
Un « Swiss Hub » en Guadeloupe…
Vous désirez des informations sur la Suisse? Veuillez me contacter. Nous ferons en sorte de vous renseigner au mieux; en partenariat avec le Consulat de Suisse en Martinique, et son Consul Honoraire, Monsieur Patrick de la Houssaye.
Quel est mon lien avec la Suisse?*
J’en suis originaire; plus précisément de la région de Gruyère, dans le Canton de Fribourg, en Suisse. Origine qui remonte à la guerre du Sonderbund, entre 1845 et 1847. Car nativement, la famille est originaire d’Argovie, et avait essaimé notamment en Souabe, qui comprenait alors le Wurtemberg, (actuellement Bade-Wurtemberg, un land du sud-ouest de l’Allemagne, limitrophe de la France et de la Suisse) en Autriche (à l’époque, empire austro-hongrois), mais aussi à Schwytz, (l’un des trois premiers cantons de la Confédération Helvétique). Le nom de famille a été francisé au XIXème siècle en Reichlen de Meldegg. Mais il existe encore, notamment dans les recueilles d’armoriales et de la noblesse, le nom écrit doublement, en sa forme originale et francisée.
A ce propos, les armoiries d’une partie de notre famille sont, à la base, « de gueules à la fasce d’argent », les mêmes que la maison des Ducs puis Archiducs d’Autriche, et de l’Autriche actuelle. Duché qui faisait partie du Saint-Empire Romain Germanique. Quant aux autres parties de mon ascendance, leurs armoiries pour certaines arboraient le lion, pour d’autre l’aigle…
Illustration: L’insigne de la fête nationale de la Suisse, le 1er août, distribué par la Fondation Pro Patria, y compris auprès des organisations de suisses de l’étranger, pour celles qui en font la demande. Celui-là figure en bonne place dans ma salle de consultation. Au même titre qu’un drapeau de table. Ainsi, je reçois un peu « en terrain neutre »… 🙂
Illustration: Le Serment du Grütli (ou Serment de Rütli, Rütlischwur), selon Jean Renggli (Johann Renggli der Ältere), 1846-1989, peintre suisse. Huile sur toile, 1891. Les trois personnages représentent les Waldstätten, nom donné en 1318 aux trois premiers cantons de la Suisse (Dictionnaire historique de la Suisse). « Nous serons un seul peuple de frères, pour ne jamais nous séparer ni en danger ni en détresse. Nous serons libres, comme nos pères, et mourrons plutôt que de vivre en esclavage. Nous ferons confiance au seul Dieu suprême. Et n’aurons jamais peur du pouvoir humain. »
Un peu de l’histoire de la Suisse…
Mais pour en revenir à la Suisse, il y a aussi tout un attachement historique, une partie de ma famille ayant été directement liée à la naissance de la Confédération Suisse. Mais pas seulement! Car dans une époque plus récente, j’ai eu des témoignages de la façon dont mon père avait agit en défense des intérêts de la Suisse, en politique internationale et dans le monde. Je me souviens d’ailleurs aussi de la fierté heureuse de ma mère, lorsqu’invitée au 700ème anniversaire de la Confédération; née officiellement le 1er août 1291.
En effet, ce fut d’abord une confédération de III cantons, Schwytz, qui a donné son drapeau à la Suisse, Uri et Unterwald; ce dernier étant devenu deux demi-cantons, Nidwald et Obwald. Ce très beau canton d’Obwald, comme le sont tous ceux de Suisse Centrale et Orientale (avec à proximité la Principauté du Liechtenstein); dont les habitants sont à la fois fiers et courageux. Et où l’on retrouve l’Ermitage de Saint-Nicolas de Flue, à Sachseln, au lieu-dit Flüeli-Ranft. Il est aussi le saint-patron de la Suisse.
Saint-Nicolas de Flue que mon père aimait particulièrement. Au point où sa dernière visite, avant de quitter cette vie, sera à son ermitage. Lieu particulier où je me suis également rendu à plusieurs reprises.
Confédération des III cantons, dits les Waldstätten, liés par le Pacte Fédéral (Bundesbrief), qui aurait été conclu sous la forme d’un serment, que l’on situe dans la prairie du Grütli, au bord du beau Lac des Quatre-Cantons, dans le Canton d’Uri. Leur objectif était de s’entraider face à l’hégémonie des comtes de Habsbourg, et de leur bailli -voir le texte de l’illustration).
Illustration-1: Le Pacte Fédéral Suisse de 1291 – Numérisée à partir de Meyer, F ., « Histoire suisse de la fondation fédérale à Marignano« , maison d’édition du Canton de Thurgovie (pour le matériel pédagogique), Frauenfeld 1976 | Illustration-2: L’ermitage de Saint Nicolas de Flue, Flueli-Ranft, Sachseln, Obwald, Suisse. Photo: Berthold Werner
Puis ce fut la Confédération des VIII cantons
Les comtes de Habsbourg ont bien essayé semble-t-il de reprendre ces territoires. Mais ils ont été battus à plusieurs reprises, entre 1315, à Morgarten, et 1388.
Par la suite, plusieurs des actuels cantons ont rejoint cette confédération naissante; en premier celui de Lucerne (1332), puis ce fut Zürich, Glaris, Zoug, Berne (et capitale fédérale, avec sa vieille ville classée au Patrimoine Mondial de l’UNESCO), Appenzell (qui compte aussi deux demi-cantons, Rhodes Intérieur et Rhodes Extérieur; et un fameux fromage, l’Appenzeller, que l’on trouve même en Guadeloupe!), et la ville Saint-Gall. Ce fut alors le temps de la confédération des VIII cantons.
Saint-Gall occupe une place particulière, du fait de son monastère, actuellement abbaye et bibliothèque (classée au Patrimoine Mondial, UNESCO), avec lequel ma famille avait une alliance, et qui avait une grande influence dans la région. Saint-Gall (Gallus, 550-646), comme Saint-Colomban (543-614/615) dont il était le compagnon, étaient irlandais. Irlande d’où Saint-Patrick était aussi originaire… Ils évangélisèrent une partie de l’Europe, notamment rurale, depuis les côtes de l’Armorique (actuelle Bretagne, en breton, Breizh, en France), en passant par la Gaule (qui comprenait la France actuelle), l’Allemagne, l’Autriche, l’Helvétie (désormais, la Suisse), jusqu’à l’Italie.
Illustration: La bataille de Morgarten le 15 novembre 1315 (avec une représentation du bouffon de la cour, Kuony von Stocken), 1470 – Chronique illustrée (Bendicht) de Tschachtlan, Bibliothèque centrale de Zurich, Suisse (Mise en ligne par Chris Furkert)
La Suisse dans sa composition actuelle…
Vinrent les rejoindre d’autres actuels cantons, dont Fribourg (avec sa vieille et basse-ville empreinte de charme!) et Soleure. Et ce n’est que très tardivement que la République et Canton de Genève, surnommée « la Rome protestante », devint suisse (19 mai 1915). Après avoir été (histoire de Genève) une république indépendante, jusqu’en 1798, date à partir de laquelle elle fut intégrée à la France; pour retrouver son indépendance en 1813.
Et le 1er janvier 1979, ce fut la naissance du Canton du Jura, francophone et à majorité catholique, qui obtint son indépendance en regard du Canton de Berne. Ainsi, la Suisse se retrouve dès cette date dans la composition de ses cantons.
Illustration-1: La vieille ville de Fribourg, avec sa partie haute (photo), et sur sa gauche, cachée par les arbres, sa partie basse. Au premier plan, la Sarine (fleuve). A noter que c’est également une ville universitaire. Photo: Norbert Aepli (Noebu) | Illustration-2: Le château de Gruyère baigné de soleil… Photo: Alexis François
La Suisse, un pays au cœur de l’Europe et du Monde
Pour conclure (vraiment?) cette page sur la Suisse, je dirais que ce merveilleux pays, au cœur de l’Europe et du Monde, a une place bien plus essentielle dans le « concert des nations » qu’il n’y paraît. Ce n’est d’ailleurs pas pour rien qu’elle héberge le siège européen et d’Asie Centrale des Nations Unies, ainsi que de très nombreuses organisations internationales. Sa neutralité y est aussi pour beaucoup.
Ce peut d’ailleurs également être un exemple d’organisation, de cohésion, et d’ententes, pour cet assemblage hétéroclite et trop souvent bancal qu’est l’Union Européenne; et bien au-delà!
Mais la Suisse, ce n’est pas seulement des banques (bien plus honnêtes envers leurs clients que les banques françaises, par exemple*), un excellent chocolat, de succulents fromages, des montres et autres productions de haute précision et de grande qualité. La Suisse c’est aussi, et peut-être avant tout, des traditions très anciennes et bien préservées (malgré les velléités de certains); et un peuple qui lui a donné, par son labeur et son courage, la bénédiction qu’elle a.
La Suisse c’est enfin un bel écrin naturel, qui certes subit également les effets du réchauffement climatique, en particulier dans les Alpes (comme ses voisins alpins, français et italiens), mais arrive à préserver l’essentiel de ses importantes richesses, naturelles et humaines. Notamment à travers ses courageux paysans de montagne, qui sont également les « jardiniers » de nos Alpes; et qu’il convient de soutenir!
Illustration-1: Sculpture devant le Palais des Nations, siège Europe et Asie Centrale de l’ONU, à Genève | Illustration-2: Dr Peter Gilg (1922-2006), historien, politologue (directeur de recherche et professeur), journaliste (notamment Rédacteur en chef étranger au Der Bund), fondateur de la revue « Année Politique Suisse » (et son directeur de 1965 à 1984). Le Dr Peter Gilg, ami très cher de mes parents, était un homme extrêmement brillant, mais également d’une très grande bonté. J’avais pour lui la plus grande des admirations; et c’est peu de le dire! Qu’ici lui soit rendu hommage; ainsi qu’à sa merveilleuse épouse, Dorothée. [Photo: Parue en 2006 dans le grand quotidien suisse Der Bund, Berne | Mise en ligne par Werner Seitz, analyste politique suisse]
Notes de lecture:
* Le CICR, ou Comité International de la croix-Rouge, a été créé en 1863 par Henri Dunant (Prix Nobel de la Paix en 1901) et plusieurs autres citoyens genevois (République et Canton de Genève). Il est notamment l’organisme humanitaire par excellence, et neutre, qui intervient dans tous les conflits armés, afin de faire respecter au mieux le Droit International Humanitaire (DIH). Droit Humanitaire, ou « droit des conflits armés », qui est composé par les quatre Conventions de Genève de 1949, et leur protocole additionnel de 1977.
* Mon lien avec la Suisse: Une façon de répondre à cette question, qui m’a parfois été posée. Il faut dire qu’en arrivant à mon cabinet, il y a un drapeau suisse. Dans la salle de consultation, il y a un calendrier suisse. Et dans la salle de consultation, il y a encore un (petit) drapeau, en plus d’un insigne de 1er août de la « Fondation Pro Patria« . Si avec tout cela on n’a pas compris…
* Les Paysans de montagne, comme les petits paysans, en Suisse comme ailleurs, sont malheureusement bien malmenés par une certaine gestion politique, sur fond de finances spéculatives, et totalement désastreuse déjà à moyen terme, et sur le plan humain. Mais en Suisse, cela est grave, dans la mesure c’est un pays en majeure partie de montagnes; et que ces petits paysans de montagne sont une bonne part de l’histoire de ce pays! Ils font partie de celles et ceux qui lui ont apportés sa bénédiction. Mais visiblement, certains politique, « aux ordres », n’ont ni mémoire, ni « reconnaissance du ventre »! Ils se contentent de faire leurs petites affaires, en représentant parfois les intérêts de lobbys adversaires des intérêts fondamentaux et de la souveraineté de la Suisse. Par conséquent, il convient de soutenir nos paysans de montagne, de même que tous les autres petits paysans.; qui sont désormais en voie de disparition, au profit de véritables « usines agricoles ». Cela est d’autant plus important que c’est eux qui sont les jardiniers de nos paysages de demain! Ce sont également tous ces petits paysans qui nourrissent réellement le monde! A moins de préférer la malbouffe et la maladie; et de vouloir laisser cela en héritage à nos enfants…
Une autre façon de soutenir le monde paysan, est de pratiquer le tourisme à la ferme; et d’aller à leur rencontre. Quelques adresses (fournies sous toutes réserves): Agritourisme Suisse (organisation indépendante de paysans), en partenariat avec l’organisation Agrivia.ch (des jeunes qui s’engagent activement à la ferme et découvrent les multiples facettes de la nature), Accueil à la ferme (Suisse Tourisme), Vacances à la ferme (organisations et Suisse Tourisme), Brunch à la ferme (organisation indépendante, sponsorisée par la Migros, une excellente chaîne coopérative de magasins et de cafétérias de qualité, ainsi qu’une banque et d’autres prestations, fondé en 1925 sur de solides critères éthiques par Gottlieb et Adèle Duttweiler), Shop des petits paysans (magasin en ligne, produits étiques et bio, promu par l’association des petits paysans et l’association d’agriculteurs et de consommateurs engagée dans une agriculture diversifiée, écologique et sociale), Wwoof en Suisse (organisation de wwoofing: aider la paysanne ou/et le paysan en échange du gîte et du couvert), séjourner en échange d’un travail à la ferme, Alpages et Chalets (organisation fribourgeoise, mais il y en a dans plusieurs cantons suisses: vous pouvez vous adresser aux organisations faîtières agricoles dans chaque canton, mais aussi aux offices de tourisme cantonaux et régionaux), Chalets d’alpages (Suisse Tourisme, qui donne quelques informations sur le concept touristique de chalet d’alpage), une autre (dans le même genre), etc. A signaler une sympathique initiative: le portail « Accueils Paysans International », qui met en relation avec des paysans dans le monde (le site n’est pas exhaustif, loin s’en faut, mais il a le mérite d’exister). Vous avez, dans une idée proche, le wwoofing à l’international. Quelques conseils judicieux à ce propos. Avez-vous d’autres pistes pour aider les paysans de montagne en Suisse? Voire louer des chalets d’alpage ou au calme? Je suis preneur! Egalement de vos suggestions, voire de vos critiques (…constructives). Merci de me contacter.
* Banques: Ce n’est pas un jugement de valeur: je suis résolument dans le non-jugement, par exigence professionnel et choix personnel! Mais il s’agit d’un constat, objectif. En Guadeloupe, c’est encore pire! Et aucune guadeloupéenne, aucun guadeloupéen, ne me contredira; excepté celles et ceux qui bénéficient d’une protection (par leur statut ou/et leurs relations). Car en plus de tarifs hallucinants, il y a toute la problématique du copinage, additionné du manque de compétences techniques et humaines de certaines et certains (bien trop nombreux). Mais personne n’ose le dire! Dans ce dernier cas, c’est particulièrement malsain. Au point de conditionner les comportements dans leur ensemble; sachant que le respect du droit (allant assez facilement jusqu’au délit pénal) et la conscience professionnelle, voire la conscience tout court, n’est vraiment pas le souci de celles et ceux dont il est question. Au point également où même celles et ceux qui ne rencontre pas ces problèmes, ont tous un autre compte à l’extérieur, soit dans l’hexagone, soit carrément en exterritorialité; des fois qu’on leur bloquerait un jour leur compte, comme ça, y compris un compte d’entreprise, histoire de leur faire un mauvais coup, avec des conséquences parfois (très) graves. Et cela, en presque quasi impunité, comme dans d’autres secteurs d’ailleurs. Je recommande moi-même à celles et ceux qui viennent s’installer ici, ou y revienne (notamment les natifs et originaires), en particulier pour les indépendants et petites entreprises (très touchées), de prendre toutes les précautions d’usage. Mais si vous connaissez des employés ou cadre de banque compétents et honnêtes (il y en a!), merci de m’en informer. Je suis preneur d’informations de ce genre. Egalement, si vous désirez des informations sur certains faits, veuillez me contacter. Quant aux magistrats, ils n’y peuvent rien, les justiciables étant tributaires d’avocats qui, en majeure partie, ne font le job (cela dit ainsi pour rester aimable…); malgré des tarifs d’honoraires là encore supérieurs à leurs homologues de l’hexagone (du simple au double!). Quant à celles et ceux qui sont vraiment dans leur rôle, y compris sur le plan déontologique, et avec intelligence, que peuvent-ils faire? Ou alors seulement dans une certaine mesure, parfois très limitée. Et celles et ceux qui en ont les moyens n’hésiteront pas à s’appuyer sur un avocat de l’hexagone (certains ce sont mêmes spécialisés de « la tournée des popotes »!).
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